Evaluation of economic policies in Morocco: measuring the impact of emerging wealth - World Bank methodological anomalies -
##plugins.themes.academic_pro.article.main##
Abstract
L’une des énigmes essentielles qui se pose aujourd’hui est bien celle de la détermination des outils permettant de mesurer les performances de richesses émergentes : notamment les richesses immatérielles. Toutefois, l’exclusion d’une partie du capital immatériel des états financiers s’explique, en effet, par des contraintes règlementaires rigides, que ça soit sur le plan des conditions d’activation ou des possibilités de mesure et d’évaluation des richesses immatérielles. Ces contraintes réglementaires peuvent résulter essentiellement de l’exigence de fiabilité qui caractérise la comptabilité financière. Au niveau macroéconomique, la Banque Mondiale à développer une méthodologie pour mesurer la valeur des richesses immatérielles des pays afin d’identifier l’impact des richesses émergentes sur la dimension économique et sociale. Toutefois, cette démarche est résiduelle, elle rejoint la même démarche de la mesure entretenue par la méthode du Goodwill et par conséquent, elle présente des anomalies et des biais méthodologiques, théoriques et scientifique quant à la mesure du capital immatériel. De même, ces anomalies peuvent impacter négativement la détermination du pouvoir explicatif du capital immatériel, via ses indicateurs, sur l’évolution des politiques économiques.
Cet article répond à la problématique suivante : Dans quelle mesure la méthodologie de la Banque Mondiale pour mesurer l’impact du capital immatériel dans la création des richesses présente -t- elle des anomalies théoriques, méthodologiques et techniques ?
##plugins.themes.academic_pro.article.details##

This work is licensed under a Creative Commons Attribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International License.